On traduit et retransmet ce texte d’ici… en support à une critique qui semble perdre de son emprise dans une réalité d’aplatissement social et de militantisme de Fesse-bouc. D’un spectacle-choc à un autre, d’un meurtre policier commandité par les tribunaux à un autre, ce qu’il y a comme résultat politique envisageable au bout de l’attentat-spectacle du 22 octobre, c’est un nouveau cadre politico-légal donnant pleins pouvoirs à l’espionnage domestique par la police secrète, et la violence politique et l’emprisonnement profitable par les flics, maintenant sur seules suspictions et allégations sans fondement.